Avec 250 modèles et 400 coloris, du nord au sud, de l’est à l’ouest, la tuile est un produit ancrée dans les territoires.
Retour sur les avantages d’un produit qui contribue et s’intègre aux paysages.
De l’extraction à la fabrication, un circuit court
Pour fabriquer une tuile terre cuite, il faut d’abord extraire l’argile des carrières. Les gisements d’argile se trouvent aux quatre coins du territoire : de l’Auvergne jusqu’au Nord et de la Bretagne jusqu’au Vaucluse.
Aujourd’hui, près de 130 sites de production et livraison de terre cuite (briques et tuiles) sont répartis sur l’Hexagone. La matière première est broyée, moulée et cuite.
On associe facilement à chaque région une forme et parfois une couleur de tuiles terre cuite distinctifs ! Au total, ce sont près de 5 000 salariés et plus de 100 000 emplois indirects non-délocalisables (couvreurs, charpentiers, maçons…) que la filière terre cuite contribue à développer, une place non négligeable dans l’économie locale et le dynamisme des territoires.
La tuile, élément du paysage vernaculaire
Si chaque région française affiche un style de toit qui lui est propre, c’est une question d’architecture bio-climatique : la forme du toit et des tuiles terre cuite répondent aux exigences climatiques : forte pente dans le nord avec des maisons avec combles, faible pente et tuile fortement galbée dans le sud.
Une Histoire de la terre cuite
Climat, environnement, économie locale : les feux au vert pour la tuile terre cuite !